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Atelier de discussion philosophique pour enfants et adolescents

Université populaire de Caen

Séance du mardi 21 novembre 2006

Nous avons cette fois complètement renoncé au texte de Lipman. A la place, plusieurs propositions de mots, expressions ou objets ont été faites. Ceux-ci pourraient servir de points de départ. Nous n’avons pas souhaité faire un choix entre ces différentes propositions, ce qui confinerait à l’absurde dans la mesure où l’on peut aussi proposer des questions libres. Si donc un objet ou un mot était écarté du choix initial, il pourrait faire sa réapparition dans ces questions. Nous avons écrit les propositions au tableau, tout en sachant qu’on pouvait soit bâtir des questions à partir de ces propositions, qui ont tout de même l’intérêt d’être communes à l’ensemble du groupe, soit proposer des questions dites libres, c’est-à-dire sans référence à un mot ou objet particulier commun.

Les points de départ communs furent donc un livre, et les mots « Gothique », «  Temps », « Stylo » et « Internet ».

Questions sur ces points de départ :

1. Pourquoi certaines personnes sont-elle accro à internet ?

2. Internet nous sert-il toujours ?

3. Pourquoi le temps passe-t-il ?

4. Pourquoi certaines personnes sont-elles « gothiques » ?

5. Pourquoi le style « gothique » est-il mal vu ?

6. Pourquoi et comment le « gothique » est-il devenu une grande tendance ?

Questions libres :

7. Avoir une bonne moyenne signifie-t-il que l’on est intelligent ?

8. Quels sortes d’éléments perturbateurs dans la vie peuvent nous faire rêver ?

9. Sommes-nous maîtres de notre temps ?

10. Sommes-nous responsables de nos désirs ?

QUESTION RETENUE APRES LE VOTE : 

Avoir une bonne moyenne signifie-t-il que l’on est intelligent ?

Ont distribué la parole :

Pour le questionnement :

Maurane

Pour le vote :

Léo

Nous avons renoncé à désigner un médiateur de discussion, modalité qui avait été mise en place au cours de la saison précédente, et reprise la semaine dernière. Or, les jeunes présents aujourd’hui étaient précisément ceux qui avaient proposé et expérimenté ce mode de distribution de parole, en remplacement de la désignation par un enfant appelé « distributeur de parole », pour des raisons de fluidité de la discussion. Mais ces médiateurs n’ont quasiment jamais eu à intervenir. Pourquoi, alors, ne pas s’en passer ?

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