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Université populaire de Caen
Nous
avons repris le fonctionnement mis au point lentement au cours des précédentes
années : le groupe choisit un objet ou un mot déclencheur, amené ou
suggéré par un des participants. Ceux-ci sont ensuite invités à proposer des
questions inspirées par cet objet ou ce mot, tout en ayant la possibilité de
proposer des questions libres.
Aujourd’hui,
Léa a suggéré de partir du numéro de téléphone « 119 », pour
l’enfance maltraitée.
1. Pourquoi certains enfants sont-ils maltraités ?
2. A quoi cela sert-il aux parents de maltraiter leurs enfants ?
3. Que se passe-t-il dans la tête des enfants maltraités et de ceux qui les maltraitent ?
4. Comment est arrivée leur maltraitance ?
5. Pourquoi ne parle-t-on que des enfants quand on parle de maltraitance ?
6. Pourquoi maltraite-t-on les enfants encore aujourd’hui ?
7. La maltraitance se passe-t-elle forcément de parents à enfants ?
8. Pourquoi a-t-on tous un don ?
9. Pourquoi certains jeunes s’amusent-ils à frapper sur d’autres personnes ?
10. Pourquoi certaines personnes deviennent-elles vos amis et puis vous lâchent ?
11. Pourquoi certaines personnes s’amusent-elles à faire des tags ?
QUESTION RETENUE
APRES LE VOTE :
Que se passe-t-il dans la tête des enfants maltraités et de ceux qui les maltraitent ?
Ont distribué la parole :
Cette façon de discuter a donné lieu à des remarques en fin de séance. Il semble en effet nécessaire de faire respecter au moins l’écoute, en évitant que deux conversations aient lieu en même temps. On propose alors de nommer, à chaque séance, non un distributeur de parole, mais un « médiateur », chargé de faire respecter cette consigne. La parole circule donc librement, mais des rappels à l’ordre du médiateur sont possibles.
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